Poeme Au Bord De La Mer Fish Store Toronto
Poudre De ChasseÔ phare de l' Amour! qui dans la nuit profonde Nous guides à travers les écueils d' ici-bas, Toi que nous voyons luire entre le ciel et l'onde, Lampe d'Héro, ne t' éteins pas! La lampe d'Héro Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise Ackermann Plus sur ce poème | Voter pour ce poème | 165 votes Eh bien! reprends-le donc ce peu de fange obscure Qui pour quelques instants s' anima sous ta main; Dans ton dédain superbe, implacable Nature, Brise à jamais le moule humain. De ces tristes débris quand tu verrais, ravie, D ' autres créations éclore à grands essaims, Ton Idée éclater en des formes de vie Plus dociles à tes desseins, Est-ce à dire que Lui, ton espoir, ta chimère, Parce qu'il fut rêvé, puisse un jour exister? Tu crois avoir conçu, tu voudrais être mère; A l' œuvre! Poeme au bord de la mer a casablanca. il s'agit d' enfanter. Change en réalité ton attente sublime. Mais quoi! pour les franchir, malgré tous tes élans, La distance est trop grande et trop profond l' abîme Entre ta pensée et tes flancs. La mort est le seul fruit qu'en tes crises futures Il te sera donné d' atteindre et de cueillir; Toujours nouveaux débris, toujours des créatures Que tu devras ensevelir.
Poeme Au Bord De La Mer Du Nord
Quand ta noble nature, épanouie aux yeux, Comme l'ardent buisson qui contenait Dieu même, Ouvre toutes ses fleurs et jette tous ses feux; Ce qui sort à la fois de tant de douces choses, Ce qui de ta beauté s'exhale nuit et jour, Comme un parfum formé du souffle de cent roses, C'est bien plus que la terre et le ciel, c'est l'amour!
Poeme Au Bord De La Mer De Cherbourg
Et l'on se met en prières, pendant que joncs et bruyères Et bois touffus, Vents sans borne et flots sans nombre, Jettent dans toute cette ombre Des cris confus. V Et les écueils centenaires Rendent des bruits de tonnerres Dans l'ouragan; Il semble en ces nuits d'automne Qu'un canon monstrueux tonne Sur l'océan. L'ombre est pleine de furie. Ô chaos! onde ahurie, Caps ruisselants, Vent que les mères implorent, Noir gouffre où s'entre-dévorent Les flots hurlants! Poeme au bord de la mer du nord. Comme un fou tirant sa chaîne, L'eau jette des cris de haine Aux durs récifs: Les rocs, sourds à ses huées, Mêlent aux blêmes nuées Leurs fronts pensifs. La mer traîne en sa caverne L'esquif que le flot gouverne, Le mât détruit, Et la barre, et la voilure Que noue à sa chevelure L'horrible nuit. Et sur les sombres falaises Les pêcheuses granvillaises Tremblent au vent, Pendant que tu ris sur l'onde, De l'autre côté du monde, Soleil levant! Victor Hugo Cliquez ci-dessous pour découvrir un poème sélectionné au hasard. Message aux membres de Poetica Mundi!
Tantôt, debout sur un roc solitaire, Il se penchait sur les flots écumeux Et sa pensée, abandonnant la terre Semblait percer les mystères des cieux. Tantôt, courant sur l'arène marine, Il poursuivait les grands oiseaux de mer, Imaginant sentir dans sa poitrine La Liberté pénétrer avec l'air. Et puis le soir, au moment où la lune Traînait sur l'eau l'ombre des grands rochers, Il voyait à travers la nuit brune Deux yeux amis sur sa face attachés. Le Bord de la mer – Victor Hugo | Poetica Mundi. Quand il passait près des salles de danse, Qu'il entendait l'orchestre résonner, Et, sous les pieds qui frappaient en cadence Quand il sentait la terre frissonner Il se disait: Que le monde est frivole! Qu'avez-vous fait de votre liberté! Ce n'est pour vous qu'une vaine parole, Hommes sans coeur, vous êtes sans fierté! Pourtant un jour, il y porta ses pas Ce qu'il y vit, je ne le saurais dire Mais sur les monts il ne retourna pas. Guy de Maupassant
Sunday, 07-Jul-24 03:42:13 UTC